Je n'ai que très peu d'exigences concernant le scénario. Il faut juste respecter ce qui est dit dans l'histoire. Riley est une femme forte, qui essaye de s'en sortir seule. Elle ne s'attache pas facilement, mais elle sent que malgré ses réticences, elle est attirée par Hadès ; elle essaye de le cacher, ayant trop peur de se faire briser et de tomber dans un monde à l'opposé du sien, qui ne fait que broyer les faibles et les pauvres. Elle ne veut pas se heurter à une nouvelle réalité trop difficile à supporter. Pourtant, je pense qu'elle va ensuite se laisser aller petit à petit vers lui, tout comme lui. Il va faire des conneries, il risque de la décevoir beaucoup de fois, mais il voudra constamment se racheter car elle est la seule qui a atteint sa sensibilité. Elle est intelligente et il adore ça. Elle est indépendante. Et par dessus tout, elle verra par la suite ce qu'il  y a de beau en lui, et non pas seulement sa richesse et sa célébrité.

J'ai parlé de la rencontre entre les deux dans mon histoire. Je poste donc le bout à la suite :
C'était la deuxième fois qu'il entrait dans le bar de cet hôtel très fréquenté de Genoa City. Il s'était surpris à vouloir y retourner après avoir vu la belle Riley. Il s'était alors installé dans un coin plutôt sombre du bar, un bon whisky – le plus cher de la carte – dans sa main droite et l'observait. Il savait qu'elle le voyait. C'est dingue comme elle est belle – un oisillon déplumé tentant de s'envoler dans une danse macabre. D'habitude, il n'était pas attiré par les faibles, encore moins par les serveuses. Ce métier prouvait que ta vie était loin d'être réussie. Mais il avait cette envie de voir sa simplicité vêtue des plus belles dentelles et des satins les plus soyeux.
Hadès attira son attention. “J'aurai besoin de vous, pour monter une bouteille de champagne dans ma chambre. La 66.” Son ton était dur mais mielleux. Son assistant venait juste de réserver une suite après le coup de téléphone du jeune homme. Ce plan n'était pas calculé et il détestait ça – qu'une simple serveuse exerce un pouvoir sur lui. Elle resta plantée devant la table, finit par poser son plateau en soupirant. “La plus chère”, ajouta-t-il. Riley semblait déjà avoir eu ce genre de propositions. Rien qu'à y penser, le brun rougit de colère.
La bouteille en main, elle l'avait suivi jusque dans la chambre. C'était la première fois qu'il faisait quelque chose d'aussi insensé à ses yeux, et il se rendait compte, malheureusement trop tard, qu'il passait pour un homme facile – un tombeur. La belle posa les deux coupes sur la table, se retournant ensuite, nez à nez avec Hadès. Il sentait sa respiration s'accélérer, son coeur à lui, sortait presque de sa poitrine, mais ses traits restaient impassibles. La leur dans ses yeux ne s'était jamais rallumée, et il avait ce côté sombre de sa personnalité constamment mis en avant. “Je peux y aller, à présent ?” souffla-t-elle d'une traite. Le brun secoua la tête en même temps qu'elle soupira, désirant le contourner. Il l'attira vers elle en saisissant son bras, sur sa peau blanche et douce. Ses lèvres appelaient les siennes, pulpeuses, rosées, il voulait les prendre et les posséder. Elle le gifla. “Tu te prends pour qui ? Sous prétexte que tu as de l'argent, tu peux tout avoir ? Tu pensais que je te sauterai dans les bras ? Je vaux mille fois mieux que des mecs dans ton genre !” Un sourire passa sur les lèvres du brun, et il enleva ses mains de la belle en les levant au ciel, comme s'il venait de commettre un crime et de se faire arrêter pour ça. “Doucement” souffla-t-il simplement. Elle était déjà partie.

Après, pour vous donner un point de vue de sa part : elle regrette de l'avoir giflé, elle est constamment sous pression - elle doit valider son semestre, payer ses études et/ou son loyer. je la vois bien avec plusieurs frères et soeurs, voulant leur faire des cadeaux et se ruinant pour eux. Ensuite, pour approfondir le lien et avoir un point de départ, pas juste cette rencontre, voilà une petite suite vue par Riley :
Il était revenu ce soir, dans la même chambre, avec un jean délavé et un t-shirt moulant noir. Encore plus beau. Il m'avait demandé d'amener à nouveau du champagne mais avait cessé ses avances. Il m'avait regardée plutôt froidement, et m'avait à peine adressé une sourire. Voilà, il m'en veut, j'ai perdu la seule chance de ma vie de conquérir le plus beau célibataire millionnaire de l'état. Lorsque je percutai une personne, immédiatement, je relevais la tête en m’excusant. C’était bien ma veine aujourd’hui. Il fallait que je tombe sur l'une des amies - ou pute ? - d'Hadès qui semblait se diriger vers sa chambre. Elle me déteste, impossible de savoir pourquoi, mais s'en rendre compte est simple : elle ne me parle pas, elle me crache dessus. Elle m'aboie dessus tel un chien de garde - me suis-je approchée trop près de son os ? J’avais beau tout faire pour mener à bien les tâches qu’elle me demandait de faire, ce n’était jamais assez bien pour elle. Toujours quelque chose qui n’allait pas. "Regarde où tu vas !" aboya-t-elle une nouvelle fois. J’acquiesçais en silence, continuant ma route. "Hey brunette !" Je m’arrêtais pour me retourner vers elle. Elle avait un grand sourire aux lèvres, son café à la main, elle devait revenir d’une de ses soirées mondaines pleine de riches et de champagne. Hadès n'y était pas ? Elle retourna sa tasse pour en renverser le contenu sur ses vêtements. Je fis un geste comme pour l’empêcher mais il était trop tard. Elle avait tâché sa robe, probablement qu’elle valait trois fois mon salaire. "Oh… mince !" dit-elle doucement. "Mais pourquoi…" bafouillais-je. Je n'avais rien eu le temps de dire qu’elle enchaîna. "NON MAIS CA VA PAS ? Vous êtes folle !" A ce moment-là, Hadès en profita pour sortir de sa suite, regardant les deux femmes. "T’as quoi ?" finit-il par lâcher à son amie. Il m'examina lentement, je n'avais jamais été aussi mal à l'aise de ma vie. Ses yeux me déshabillaient et me caressaient chaque parcelle de peau. "Elle vient de me renverser mon café sur ma robe. Tu te rendes compte que c’est une robe unique dans le monde faite sur mesure ?" Son regard menaçant et mesquin est posé sur moi et celui d'Hadès rejoint à nouveau le sien. Je me sens petite, faible et pleine de colère. Quoique je dise, il n’allait pas me croire, ni lui, ni mon supérieur d'ailleurs. "T’attends quoi pour nettoyer ça ? C’est de ta faute après tout. Had', tu peux ouvrir la fermeture derrière ?" Elle secoua ses fesses à côté de lui. Il ne cilla pas. Il devait avoir l'habitude. Le brun fit ce qu’elle lui demandait, cette dernière retira sa robe, se retrouvant en sous-vêtements en dentelles dans le couloir de l’hôtel. Je voyais le regard d'Hadès se poser sur elle. Elle était comme une déesse pour lui. Ça se voyait et bizarrement, je sentais mon coeur se serrer. Ma gorge aussi. Me regardait-il ainsi ? L'avait-il fait la dernière fois ? Non, jamais il ne pourrait, elle avait le corps d’un mannequin tout droit sorti de chez Prada. J'étais une pauvre serveuse avec le même jean, acheté il y a deux ans. Je me détestais à ce moment-là de penser ça. Elle s’approcha un peu plus de moi et me tendit sa robe. "Je… ". Je ne savais quoi dire, Riley se trouvait derrière elle, silencieux, noir, rempli de mystères. Je la vis avoir un léger sourire en coin. La garce ! "T’as jusqu’à demain matin sept heures pour la nettoyer, sinon tu peux être sûre que ton supérieur ainsi que tout l’hôtel sera au courant de tes agissements." Un clin d’œil pour accompagner ses dires, elle fit demi-tour, sa démarche montrait qu’elle était une jeune femme sûre d’elle, montée sur des jambes interminables. Je l’enviais d’un côté et la détestais de l’autre. Moi qui espérait partir tôt ce soir, c’était raté.

OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH                   

L'AVATAR + LE LIEN + L'HISTOIRE      

PUIS QUEL BEAU GOSSE     

Je voudrais bien la tenter sous Ashley Benson si cela te convient   

Puis accessoirement, venir sous tes draps un de ces soirs... ahahahahha   

épouse moi sur le champ    faisons des bébés par milliers              

merci de tenter mon scénario, je t'aime déjà.           

ashley me va parfaitement. encore merci, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire.   n'hésites pas à me mpotter en cas de besoin, j'aime qu'on me harcèle.