hadès est un emmerdeur de première. il adore penser à lui et assouvir ses envies les plus folles. ce n'est pas un patron tendre pour son équipe, puisqu'il estime que son plaisir et sa réussite personnelle est primordial, au dépend de leur vie privée. il peut leur demander de bosser vingt-heures sur vingt-quatre sans états d'âme. lui aussi l'a fait, plus jeune. il se moque de ce que les gens peuvent penser, ou même dire de lui, mais il sait que son portrait est plutôt positif dans la presse, puisqu'il se montre toujours impeccablement bien vêtu et irréprochable lors des soirées mondaines. le brun est plutôt jaloux et possessif, même s'il n'a jamais eu d'histoires sérieuses. plusieurs coups d'un soir, aucun assez intéressant pour persister avec chacune des filles. il faut le dire, il est plutôt infidèle avec les femmes. il ne doit rien à personne. tu veux le garder ? il faut ramer. par contre, il fait passer l'amitié avant tout et sera toujours là pour dépanner ceux à qui il a donné sa confiance. comme sa famille : il a deux petites soeurs. il dépense souvent sans compter, puisque l'argent rentre plus vite chaque heure que ce qu'il pourrait dépenser. hadès est très protecteur, surtout avec une de ses petites soeurs, la plus fragile selon lui. il déteste apprendre qu'elle était à nouveau dans ce bar, complétement saoule, et qu'il doit passer la chercher. mais il accourra toujours. le jeune homme est également très lunatique : passer ses humeurs sur les gens est un passe-temps qu'il exerce à merveille. ses collègues ne savent jamais comment ils vont le trouver, et le redoutent. mais il reste un bosseur déterminé, indispensable au bon fonctionnement de la filiale. il aime contrôler, et le montre bien. le pouvoir, c'est pour lui. il en a fait une quête dans sa vie. aujourd'hui, on peut dire que le but est atteint.

Le  noir. Complet. L'avez vous déjà subi ? Avez vous déjà ressenti ce trou béant, dans la nuit ou dans le jour, cette couleur impossible à percer ? À comprendre ? Le garçonnet était allongé au fond de placard. Même la lueur dans ses yeux n'existait plus. Elle ne brillait plus, sa vision était anesthésiée. Malheureusement, l'ouïe s'était imposée comme sens prédominant. Et il comprenait tout. Il calculait tout. Il évaluait tout le mal qui allait s'abattre sur lui avant même que la porte de ce placard ne s'ouvre. Il était une proie offerte au monde et à ses bourreaux. Et il allait devenir un boulet de canon pour quiconque entrait dans sa vie.

“Hadès...” avait gémit une grande femme blonde, ternie par le temps et le chagrin. Il avait à présent vingt-six ans et allait conclure sa première affaire. Elle semblait le supplier. Il avait un léger sourire au coin des lèvres. Il allait démanteler cette entreprise et la vendre dix fois plus qu'il ne l'avait acheté. Ce n'était pas compliqué, il l'avait eue une bouchée de pain. Elle se racla la gorge. “Mr Robson... Ne faites pas ça... Ma vie, je n'aurai plus rien.” Elle pris une inspiration bruyante et se laissa tomber sur son fauteuil rouge sang. “Vous allez m'anéantir.” Il pris congé.
Anéantir une vie ? La sienne l'avait été. Et il s'était relevé ; il ne ressemblait en rien au petit garçon seul au fond du placard en ruines. Il avait survécu et avait compris que dans ce monde, seuls les plus forts ne sont pas broyés. Il en avait fait son crédo.

La brune était belle, et elle semblait habitée par un démon lorsque ses hanches se déplaçaient dans des mouvements gracieux, venus d'un autre monde. Un oiseau déchu.

“Putain Marla.” marmonna le brun en décrochant son téléphone. Il n'avait pas eu le temps de voir l'heure mais savait qu'il était très tard dans la nuit, ou tôt le matin. La jeune femme bafouilla des mots incompréhensibles dans le téléphone mais cita le nom du bar où elle se trouvait. “La prochaine fois, je dirai aux flics de te chercher.” Il avait raccroché et avait déjà enfilé un bas de jogging lui retombant parfaitement sur les hanches et un t-shirt gris. Il ne pris pas la peine de déranger son chauffeur et roula à vive allure sur les routes sombres de Miami.

C'était la deuxième fois qu'il entrait dans le bar de cet hôtel très fréquenté de Genoa City. Il s'était surpris à vouloir y retourner après avoir vu la belle Riley. Il s'était alors installé dans un coin plutôt sombre du bar, un bon whisky – le plus cher de la carte – dans sa main droite et l'observait. Il savait qu'elle le voyait. C'est dingue comme elle est belle – un oisillon déplumé tentant de s'envoler dans une danse macabre. D'habitude, il n'était pas attiré par les faibles, encore moins par les serveuses. Ce métier prouvait que ta vie était loin d'être réussie. Mais il avait cette envie de voir sa simplicité vêtue des plus belles dentelles et des satins les plus soyeux.
Hadès attira son attention. “J'aurai besoin de vous, pour monter une bouteille de champagne dans ma chambre. La 66.” Son ton était dur mais mielleux. Son assistant venait juste de réserver une suite après le coup de téléphone du jeune homme. Ce plan n'était pas calculé et il détestait ça – qu'une simple serveuse exerce un pouvoir sur lui. Elle resta plantée devant la table, finit par poser son plateau en soupirant. “La plus chère”, ajouta-t-il. Riley semblait déjà avoir eu ce genre de propositions. Rien qu'à y penser, le brun rougit de colère.
La bouteille en main, elle l'avait suivi jusque dans la chambre. C'était la première fois qu'il faisait quelque chose d'aussi insensé à ses yeux, et il se rendait compte, malheureusement trop tard, qu'il passait pour un homme facile – un tombeur. La belle posa les deux coupes sur la table, se retournant ensuite, nez à nez avec Hadès. Il sentait sa respiration s'accélérer, son coeur à lui, sortait presque de sa poitrine, mais ses traits restaient impassibles. La leur dans ses yeux ne s'était jamais rallumée, et il avait ce côté sombre de sa personnalité constamment mis en avant. “Je peux y aller, à présent ?” souffla-t-elle d'une traite. Le brun secoua la tête en même temps qu'elle soupira, désirant le contourner. Il l'attira vers elle en saisissant son bras, sur sa peau blanche et douce. Ses lèvres appelaient les siennes, pulpeuses, rosées, il voulait les prendre et les posséder. Elle le gifla. “Tu te prends pour qui ? Sous prétexte que tu as de l'argent, tu peux tout avoir ? Tu pensais que je te sauterai dans les bras ? Je vaux mille fois mieux que des mecs dans ton genre !” Un sourire passa sur les lèvres du brun, et il enleva ses mains de la belle en les levant au ciel, comme s'il venait de commettre un crime et de se faire arrêter pour ça. “Doucement” souffla-t-il simplement. Elle était déjà partie.

serait-il possible de me réserver julian ? merci les chous.    et si vous voulez des liens, n'hésitez pas   

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Bienvenue et bon courage pour ta fiche!
Ce choix d'avatar   

Bienvenu *-*
Hâte d'en savoir plus sur ton personnage pour penser à un lien   

merci les beautés.   

Bienvenu parmi nous

Julian      Et le prénom choisi      
Bienvenuuuue      

merci vous deux   
holland est superbe.   

merci   

finito   

merci ma belle